Encore un texte découvert par hasard (ou pas) , qui me parle, de certaines rencontres, de la maladie, des 1 ans (à 2 jours près qui viennent de passer)
D’un chagrin, j’ai fait un repos
Au coin de moi je nous regarde
Et on a tout pour être beau
Et aussi le temps que l’on retarde
Humain c’est joli après tout
On travaillera nos rencontres
Pour unir les sages et les fous
Lire la même heure,
Sur nos montres
Alors c’est rien, c’est la fatigue
Si on a peur encore du noir
Si on se cache si on s’endigue
Et demain on retournera voir
On peut bien pleurer dans nos bras
Hier on se serrait les poings
J’ai pas senti qu’il faisait froid
Je reviens vite les copains
C’est pas la fin
C’est une pause
J’ai toujours eu l’envie des autres
De sourire à celui qui ose
De fou rire au moindre des nôtres
C’est juste que c’est la gueule au monde
Je sais on fait jamais assez
On en a bouffé de l’immonde
Et puis après ça va passer
Laisser vos lumières allumées
J’ai besoin de vous souvenir
Et si ce soir je vais pleurer
Bah demain je vais revenir
Laisser vos lumières allumées
J’ai besoin de vous souvenir
Et si ce soir je vais pleurer
bein demain je vas revenir
Laisser vos lumières allumées